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Ce fût encore du bon, toujours du beau en ce samedi 24 mars sur le parquet du Centre sportif Hector Berlioz pour le traditionnel tournoi interne de printemps du VBC, l’événement super-méga-chic que tout le gotha de la plume tente d’infiltrer…Histoire de baigner dans la légende du badminton et de pouvoir dire qu’on en était.

Prestige oblige, les joueurs d’eau douce et autres bachibouzouks n’ayant pas dépassé le stade du « revers auto-smashé asymétriquement redécroisé » sont priés de retourner aux tournois homologués sans passer par le vestiaire, tant depuis des années, le désormais « Classic spring tournament » (CST) hisse très haut la raquette en matière de tournoi de prestige de haute volée.

Avec au manche, l’incontournable Amaury, véritable artiste-artisan du Bureau, en lead sur l’événement et qui, fort d’un savoir-faire ancestral et d’une organisation bien huilée, propose à chaque fois une expérience inoubliable.

« J’avoue qu’il est assez compliqué de comprendre comment on peut prendre autant de plaisir en si peu de temps. Je veux bien essayer… mais c’est un petit peu au-dessus de mes forces d’expliquer l’inexplicable ».

Charlie *, adhérent du VBC, après sa participation au Classic spring tournament 2018.

Grâce à son ambiance lifestyle garantie, le CST donne l’occasion de découvrir le véritable badiste qui est en soi, et c’est (de plus) l’endroit idéal pour toucher du doigt les futures légendes du circuit et tous les joueurs aujourd’hui classés… Monuments historiques.

Gare quand même au double effet VBC Cool, il a déjà chamboulé plus d’un destin : certains des anciens participants n’ayant plus jamais lâché leur raquette, ni leur short !

Et pour cette édition 2018, ce ne sont pas moins d’une trentaine de joueuses et de joueurs racés au pedigree cinglant à faire passer le Who’s Who du badminton pour un catalogue de graines Vilmorin qui s’était donné rendez-vous.

Jugez plutôt…

* Le prénom a été changé

Spring is coming (CST)